lundi 12 avril 2010

Je conteste l'utilisation actuelle et déformée des mots Pédophile et pédophilie




Les appels en linchages médiatiques !
concernant nombre d'affaires fausses et PRESUMEES VRAIS concernant des rapports sexuels d'adultes criminels avec enfants sont écoeurants, il sera bientôt plus grave de faire un baiser à la russe, un "mickey" ou poutou-poutou à un enfant que de lui foutre un poing dans gueule (ou le visage).

EL'.T








J'écris un peu de poésie en Blog et aussi des Absurdités :

Invitation au voyage imobile

Je vous prie d'accepter une invitation pour un moment de réve, dans cette gare, innondée de rayons de lumiére en noir et blanc.

Nous pourrions y découvrir la profondeur de nos âmes et vibrer peut-être a l'idée que nos corps pourrait s'éffleurer, nos lévres doucement s'humecter, nos doigts se froler.

Vous sentiriez à quel point, je n'ai pas été aimé depuis temps d'eternité.

Mais voilà l'instant s'envole déjà, comme les cendres et la poussiére, d'une journée de septembre.

Et je pense a ces passionnés partis avant d'avoir pu se rencontrer.

Merci à Jacque pour la fin

Tristesse

Une petite vaglette,
puis une autre,
D'autres encore,
Elles finissent par,
Remplir le temp,
De la page blanche,
De l'écran du vide.

La hague c'est aussi autre chose

Au-delà,

J'ai plus tard,
J'ai,
Vécu, prés d'Ommonville la petite,

J'aimais,

Cette route cotiére,
Descendant,
Vers Urville.

Un moment,
Dominant la mer,
A travers,
Le vert végétal dense,
Apparrait une vue infinie,
D'un ciel de beaux,
Ou tempétueux,
Dans l'exaltation d'une lumiére,
Toujours claire,
Contrastée par les jeux des ombres et du vent.

L'eau,
peut y passer,
d'un bleu tropical,
A la plus grises des océans glacials,
Seulement par la magie,
Du passage d'un nuage.

On peut y voir,
Aussi, papillonnant dans les souffles des brises,
De surf, voilé,
"par temp" de plage,
Pour y revenir sans cesse,
Comme s'ils ne pouvaient,
Se réssoudre au grand voyage.

Entre les éléments : Des êtres.

Mon but, mon passage,
Avait pour destination,
La confrontation, de la vie à la mort,
Vers un surf déjaugeant,
Parfois s'envolant,
Dans d'impossible vague.

Il me plait à penser que Monsieur Prévert,
Ai vu et rescenti cet endroit,
Ephémere.

A Serge Reggiani.

El'.T

L'enfance d'un ancien passeur, de Semois.

Au bout du fond des neaux.
Il y a la roche fendu,
Puis plus loin...
Du haut froid du Pinco,
Vers la chaleur des Hâts,
Il y là peut être encore,
Mille âmes,
Du long prés,
Au trou des rousses,

Datant de guerre de deux milles ans,
Les légions de Cesar, auraient bataillées là.
Une tornade, passa, comme un cygne volant,
De l'église à chassepierre, vers la Gaule là-bas.

L'endroit est trés beau, mais souvent, un peu froid,
La riviére coulait cristaline, entre pierres et renoncules,
Du printemps, blanche de leurs fleurs, à l'été mortes dérivantes,
Et des temps d'enfance de milliers de gougeons et en centaine de vairons,
Des cailloux brillants de mille jolies couleurs d'eaux claires cachants loches et chabots.

Les demoiselles de leur mutation d'été, bleues ou vertes parfois,
Brillante de soleil sur le jonc,
Jouant entre les rayons de l'air frais,
Se mourrant de l'amour,
De mille petites fées de fin de mai.

Dans ce courant là,
Parait il,
Une sauvage de chaire rose de gamares,
C'était offerte, Bataillante.

La partie finissant,
Des la permiére barque,
Glissant doucement,
Entre les islés des sorciéres.

Si vous y alliez,
Imaginez,
Des restes,
Ce que cela était.

...de loutre...
Vous n'aurez de chance,
Je pense avoir vu la derniere,
Du lieu.

Une heure durant d'un métre de gris bleu de schiste,
Elle jouait comme un enfant à plonger et remonter,
Moi n'osant bouger,
Ni l'un, ni l'autre ne pêchions.

Si vous saviez.

A mes enfants,
A mon "Ex" séparée et Absurde
A ma grand mére et mon grand pére,
A mes amours et mes amitiers gaumaises,

El'.T

L'écriture

Il y a "temps" de richesse en moi,
Que vous ne pouviez voir,
Et que je ne pouvais vous montrer,
Mais c'est grace à toi,
Si ont éclos,
Une explosion de mots,
Qui coulent,
Comme un fleuve,
Qui ne tarrira qu'avec la mort,
Ou l'enferment de l'asile.
Que tu sembles tellement,
Vouloir, désirer pour moi.

Auto-satisfaction ou dérision de soi

Nous sommes tous des bateaux ivres,
Voguant sur des mers inconscientes,
Poussés par des vents tourbillonants,
Vers les ciels de la conscience,
Dans l'inconstance des temps.
A nous de choisir tout de méme,
D'étre des Galéres, ou des Golettes.

El'.T

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