lundi 19 avril 2010

J'oubliais dans le message en com. précédent...

En 1999,
j'ai reçu un jour un papier actant que j'étais fou, sous la forme d'une reconnaissance COTOREP des Ardennes...
Mais le hic,
...c'est que,
j'en ai jamais fait la demande,
que je n'avais jamais vu de psychiatre expert,
que je n'ai jamais été aucune à une commission,
et pas mis les pieds à la dite COTOREP...
Alors dans ce cas, ...
il faut la jouer en douce, et comme le Papier n'avait de valeur que cinq années...
Suffisait d'attendre en souffrant.
Je vous rappelle, le principe de la psychiatrie,
...le patient,
qui trés souvent est trés patient...
Dois accepter le pronostique du psychiatre !
C'est là,
Un des principes fondamentaux de ces salopards,
si le patient reconnait être malade,
c'est qu'il est en voie de guerrison...
c'est patétique,
mais c'est la réalité !
Et si il est en voit de guérisons,
Le Patient,
Sait, qu'il a une chance,
de moins avoir,
à bouffer de leur torture.

Alors depuis 2004,
certain doivent pas bien dormir,
et être dingue de ne pas m'avoir rendu fou
...réellement.
Si vous saviez ce que je pense,
de se remassi de grosses merdes.
Alors,
bien sur,
ils font tout pour me faire voir à tout prix,
un expert psychiatre,
patétiquement,
et profite du divorce pour le faire.
Mais certainement pas un expert médical,
Mais champion en mensonges d'état,
comme celui qui m'a fait ma piqure à Reims,
mit en chambre capitonée avec la camisole sur les épaules,
alors que je vivais en Belgique.

Que le matin méme,
j'étais à boire tranquillement une chop de Jupiler.
à une terrasse de café de Florenville sur Semois
et que je ne me rendais pas en France,
ce jour là,
de ma propre volontée,
pour voir un médecin,
de la DST,
ou de la DGSE,
ou une saloperie,
officiant,
pour protéger,
des voleurs,
et des assassins,
de la république.

En outre,
je n'avais agréssé personne,
méme pas le dit psychiatre,
menacé personne,
méme pas le dit psychiatre,
je n'étais pas en dépression,
j'étais en bonne santé...
Enfin j'étais une personne normale,
en 1996,
malgrés mon enfance et la guerre de Bukavu,
mes familleS et toutes les horreurs
et surtout mes préocupations trés matériels de l'époque,
et ma recherche d'emplois suite ma fin contrat par licenciement économique de l'industrie nucléaire deux mois avant ces événements.
J'avais aussi des ressources correctes,
en convention de convertion,
et un peu d'économie due à 10 années de Travail,
Pas de dettes,
Mais un petit pécule.
je ne souhaitais pas retravailler en France, bien que frontalier non déclaré j'y étais au Chômage.
Je voulais à l'époque partir plutôt assez loin...
de leur dictature nucléaire et je recherchais du travail,
surtout via la Belgique
et le journal le Soir.

Aprés quinze jours d'hospitalisation,
Et changement d'hopital,
sanglé dans une voiture,
Alors,
que je n'avais jamais été violent.

je ne pouvais plus que à peine marcher,
je bavais de maniére incontrolé,
la bouche de travers,
la langue se rétractant,
vers le fond de la bouche,
j'avais des spasmes musculaires permanents,
Jusqu'au plus petit muscle du visage et
dans tout le corp et assez douloureux.
Malgrés des corecteurs,
pour la maladie de Parkinson,
que je n'avais bien sur pas.

J'avais des envies de suicide,
j'avais peur de tout,
Et celà a fini par provonquer,
des bouffées délirantes,
que je n'avais,
jamais eu avant.

Ce dont,
j'avais le plus peur,
en fait,
c'était de me retrouver à nouveau,
dans une chambre capitonnée,
Sans aucun bruit,
Seul,
a moitié nu,
dans leur enfer,
et de piqure.

J'ai du prendre,
ce traitement là,
deux années durant,
sous menace,
de l'hospitalition d'office,
et de l'injection forcée,
sous contrôle du psychiatre,
de ma mére,
de ma femme,
et des familleS.

Ensuite, ils ont changés,
le type de traitement,
plus léger en apparence,
mais je devais faire,
des prises de sang,
pour contrôler,
le taux d'un des nouveaux médicaments,
mensuellement.

J'ai doucement arrêté,
et celà depuis sept années...
Cinq années pour me remettre,
physiquement et psychologiquement,
de tout celà,
et loin de tout médecin psychiatre
ou autre psy...
méme quant on me casse le nez.

j'ai mis quatres années,
à avoir une érrection correcte,
j'ai été sous l'emprise total,
des autres plusieurs années.

Ma femme a monté son cirque,
(pas seule !!!)
pour provoquer une séparation,
me rendant la vie infernale,
les deux années de mon congé parrentale.

Quant ils ont compris,
que tout le monde voyait,
que j'étais une personne,
trés correcte,
un pére trés correct,
que j'assumais,
trés bien,
au quotidien,
mes trois jeune enfants.

Ils ont mis,
la machine judiciaire en route,
via,
un divorce monté par avocat.
Alors,
j'ai compris que j'allais perdre mes enfants,
ils ont tenté,
la séparation préparatoire au divorce,
en technique merdique d'Avocat,
et je l'ai empoigné sans la frapper,
sans conséquence pour elle.

Mon épouse qui sourire aux lévres,
ce jour là me tendant la lettre du divorce,
me fesait bien comprendre que j'avais perdu l'essentiel,
irrémédiablement,
et ils en ont profité,
pour enlever mes enfants,
et les emmener le jour méme à 800 km.

Bientôt deux années que j'ai pas vu mes enfants,
Personnes ne fait rien pour...
Ni ma famille,
Ni ma femme,
Ni la justice,
Ni l'état...
La seule chose qu'il veule pour moi,
C'est que je vois,
un salopard,
de menteur,
d'expert Spychiatre.

Pour m'en refoutre,
plein la gueule.

Et je vous jure,
que rien que dit penser,
J'ai envie de tuer le spychaitre,
Que je pourrais rencontrer,
méme avant qu'il ouvre,
une seule fois la bouche,
en sauvegarde
ou vengance préventive.

Je ne veus plus voir de ma vie un seul de ces porcs

Tout le monde savait que mes enfants,
c'était le bonheur de ma vie,
et le bonheur c'est équilibrant.

Celà a failli me tuer de tristesse et de desespoire,
mais, je n'ai eu besoin d'aucun médicament de merde.

D'ailleur, depuis plusieurs années les seuls médicaments,
que je prend c'est de l'aspirine.

Bien... que,
Le tout nouveau compagnon de ma mére,
ncien médecin militaire Belge ?
que je connais à peine,
a insisté,
pour me faire une prescription,
et méme donné en cadeau empoisonné,
avec insistance,
et presque menace,
de l'Hadol...

Je ne suis pas dépressif.

Que j'ai jetté à la poubelle,
aprés avoir été expliquer...
et demander en Pharmacie,
ce que celà était...
Ils m'ont dit,
messieur,
ne prenez pas celà !

Et si vous doutiez un instant,
de mon histoire et de ce que l'on m'a fait subbir...
ne m'adressez jamais la parole.
Eric...

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